Chinoise, vietnamienne, thaïe… je suis une fan de cuisine asiatique. Une semaine sans et ça y est, j’me sens faible. C’est sûr, j’ai des carences de pâte de riz, j’suis en manque de gingembre, en mal de citronnelle. Viiiite, un nem !
Pour assurer mes besoins asiatico-culinaires hebdomadaires, j’ai traîné ce soir mon ami Nicolas dans une gargote recommandée par des amis mais jamais testée encore : le Lao Chaleune. « Vas-y tôt, m’avait-on dit, car ils ne servent pas au-delà de 22h. Et tu verras, c’est vraiment de la cuisine lao, pour une fois. »
Paumé au fin fond du XIIIème arrondissement, dans une rue toute triste et au bas d’un immeuble un peu pourri, le Lao Chaleune ne paie pas de mine. A l’intérieur c’est pareil. Il y a des peintures kitsch au mur, la lumière est un peu cruelle et les tables sont protégées par une vitre épaisse. D’ailleurs, à 20h30, nous sommes les seuls convives (= je ne serais jamais entrée sans les bons conseilleurs cités plus haut !).
Bon, la carte maintenant. Il y a au moins 40 plats, qui donnent plutôt tous envie. Le nem étant une valeur-étalon, je prends. Comme je suis gourmande, je prends en plus un potage au bœuf et au lait de coco. Nico, un peu frileux, jette son dévolu sur le bœuf au basilic… et ajoute un rouleau de printemps quand arrivent mes nems (jaloux !). Et pour finir, éclair de souvenir gourmet, je craque sur la salade de papaye, « pour faire goûter Nico ».
Au final, c’est bon. Sans plus. Sauf, sauf, la salade de papaye, qui déchire (bon sang, quel langage !). Elle a le même goût qu’au bord de Tat Lo, une jolie cascade dans le Sud du Laos où, pour la première fois, une salade de papaye m’a fait pleurer (c’est épicé, aouch !). Heureusement, au Lao Chaleune, habitué aux sensibles palais français, le convive peut choisir le degré de chauffe du plat… Et c’est drôlement bon !
Pour assurer mes besoins asiatico-culinaires hebdomadaires, j’ai traîné ce soir mon ami Nicolas dans une gargote recommandée par des amis mais jamais testée encore : le Lao Chaleune. « Vas-y tôt, m’avait-on dit, car ils ne servent pas au-delà de 22h. Et tu verras, c’est vraiment de la cuisine lao, pour une fois. »
Paumé au fin fond du XIIIème arrondissement, dans une rue toute triste et au bas d’un immeuble un peu pourri, le Lao Chaleune ne paie pas de mine. A l’intérieur c’est pareil. Il y a des peintures kitsch au mur, la lumière est un peu cruelle et les tables sont protégées par une vitre épaisse. D’ailleurs, à 20h30, nous sommes les seuls convives (= je ne serais jamais entrée sans les bons conseilleurs cités plus haut !).
Bon, la carte maintenant. Il y a au moins 40 plats, qui donnent plutôt tous envie. Le nem étant une valeur-étalon, je prends. Comme je suis gourmande, je prends en plus un potage au bœuf et au lait de coco. Nico, un peu frileux, jette son dévolu sur le bœuf au basilic… et ajoute un rouleau de printemps quand arrivent mes nems (jaloux !). Et pour finir, éclair de souvenir gourmet, je craque sur la salade de papaye, « pour faire goûter Nico ».
Au final, c’est bon. Sans plus. Sauf, sauf, la salade de papaye, qui déchire (bon sang, quel langage !). Elle a le même goût qu’au bord de Tat Lo, une jolie cascade dans le Sud du Laos où, pour la première fois, une salade de papaye m’a fait pleurer (c’est épicé, aouch !). Heureusement, au Lao Chaleune, habitué aux sensibles palais français, le convive peut choisir le degré de chauffe du plat… Et c’est drôlement bon !
ps: la seconde photo vient du Laos, juste pour vous mettre dans l'ambiance...
Lao Chaleune
29 rue du château des rentiers – Paris XIII
01.45.84.38.30
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