Elle a passé un an aux côtés de Nicolas Sarkozy. Et en a fait un livre. L’aube, le soir et la nuit, de Yasmina Reza, vient de sortir chez Flammarion et moi, bonne cliente de la promo, j’ai couru à la Fnac me payer un des derniers exemplaires encore en stock…
Au bout de la première lecture, j’étais en colère. Enervée par cette écriture hachée, agacée par la condescendance de l’auteure, contrariée de ne rien avoir appris sur 185 pages.
… Mais peut-être avais-je lu trop vite – ça m’arrive. Alors j’ai recommencé, plus doucement.
La colère est un peu retombée, grâce au style. C’est joliment écrit, quand même. Mais je ne suis toujours pas touchée par les réflexions philosophiques qui parsèment le livre. Je suis toujours indisposée par ces personnages qu’elle cite par leurs prénoms et que je ne reconnais pas (j’avoue ici mon manque de culture politique). Je râle, encore, contre ces citations sans auteurs, et parfois sans guillemets. Je m’irrite une nouvelle fois de ce fouillis.
Et sur le fond ? Pfff. Imaginez une pièce dont vous n’auriez entre les mains que les didascalies. Il manquerait toujours l’histoire !
Le livre refermé, je me suis dit que j’allais aussitôt le revendre sur e-bay, histoire de récupérer mes 18 €. Mais non. Finalement, je me propose de le faire parvenir à la première personne qui laissera un commentaire à ce post, si toutefois vous avez encore envie de le lire (ce serait dommage de se contenter de mon avis !). En espérant que ce lecteur acceptera de partager ses impressions… Alors, qui n’en veut ?
Au bout de la première lecture, j’étais en colère. Enervée par cette écriture hachée, agacée par la condescendance de l’auteure, contrariée de ne rien avoir appris sur 185 pages.
… Mais peut-être avais-je lu trop vite – ça m’arrive. Alors j’ai recommencé, plus doucement.
La colère est un peu retombée, grâce au style. C’est joliment écrit, quand même. Mais je ne suis toujours pas touchée par les réflexions philosophiques qui parsèment le livre. Je suis toujours indisposée par ces personnages qu’elle cite par leurs prénoms et que je ne reconnais pas (j’avoue ici mon manque de culture politique). Je râle, encore, contre ces citations sans auteurs, et parfois sans guillemets. Je m’irrite une nouvelle fois de ce fouillis.
Et sur le fond ? Pfff. Imaginez une pièce dont vous n’auriez entre les mains que les didascalies. Il manquerait toujours l’histoire !
Le livre refermé, je me suis dit que j’allais aussitôt le revendre sur e-bay, histoire de récupérer mes 18 €. Mais non. Finalement, je me propose de le faire parvenir à la première personne qui laissera un commentaire à ce post, si toutefois vous avez encore envie de le lire (ce serait dommage de se contenter de mon avis !). En espérant que ce lecteur acceptera de partager ses impressions… Alors, qui n’en veut ?
3 commentaires:
Ben moi, je suis curieuse ;-)
il est à toi!
Cool, merci ;-)
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