Troisième post en… trois mois, c’est pas si facile d’alimenter un blog ! Faire le plein de Wizzz est nettement plus facile, mais ça, je vous le raconterais une prochaine fois parce que ce soir, tadaaam, ce soir, je vous livre le premier Culture Wizzz.
Avec Wizzz et quelques amis (mais un seul entre le top case et moi, j’ai pas encore de carriole pour emmener tout le monde !), nous nous sommes rendus à l’UGC des Halles pour nous régaler d’une ratatouille aux petits oignons.
Pour ceux qui l’ignorent – mais est-ce encore possible après le battage médiatique qui a accompagné la sortie du dernier Pixar ? – Ratatouille est un dessin animé qui se déroule dans les cuisines d’un grand restaurant parisien. Un petit rat dégoût (oups, d’égout) y développe ses talents culinaires caché dans la toque d’un p’tit commis.
Voilà pour le pitch. Pour la recette, c’est simple. Prenez quelques personnages succulents (le p’tit rat tout mignon, le p’tit commis pas moins, le méchant chef super jaloux et, bien sûr, la princesse à croquer), ajoutez une poignée de figurants corsés (la bande des rats goulus, toujours prêts à mettre les pieds sous la poubelle pour croquer quelques détritus), faites mousser avec un scénario rebondissant, saupoudrez de bons sentiments… Et laissez-vous aller pendant que l’histoire mijote.
Dans l’assiette, ça donne une plongée dans l’univers fascinant des coulisses d’un cinq étoiles, relevée par un graphisme délicieux (non, je n’ai pas d’actions chez Pixar). Je ne suis pas critique, ni pour le ciné ni pour la gastro, mais en sortant, j’avais le sourire aux lèvres et le ventre creux. Pour mon anniversaire, je voudrais donc un petit rat à poser sur ma tête. Il me mitonnera des petits plats en me tirant les cheveux et fera des miracles dans ma cuisine miniature… Miam !
ps: Allez, j’ose une petite douceur pour finir, spéciale dédicace pour tous mes amis branchés caca (eh oui, ils sont plus nombreux qu’on ne l’imagine à être bloqués en phase scato)… En garant (difficilement) Wizzz en rentrant, j’ai franchement posé le pied dans les restes digérés du dîner d’un chien. J’ignore s’il était gourmet ou goulu, mais ça glisse, cette cochonnerie. Alors, d’abord, j’invite les propriétaires de canidés à éviter les garages à deux-roues quand leurs bestioles ont des problèmes de transit. Ensuite, je me note de vous faire partager mes pensées philosophiques sur ce que subit la chaîne de Wizzz quand j’en suis éloignée. Et enfin, je vous laisse, parce qu’avec tout ça, il me reste un peu de ménage à faire sous mes baskets. C’était la minute poétique, bonne nuit !
Avec Wizzz et quelques amis (mais un seul entre le top case et moi, j’ai pas encore de carriole pour emmener tout le monde !), nous nous sommes rendus à l’UGC des Halles pour nous régaler d’une ratatouille aux petits oignons.
Pour ceux qui l’ignorent – mais est-ce encore possible après le battage médiatique qui a accompagné la sortie du dernier Pixar ? – Ratatouille est un dessin animé qui se déroule dans les cuisines d’un grand restaurant parisien. Un petit rat dégoût (oups, d’égout) y développe ses talents culinaires caché dans la toque d’un p’tit commis.
Voilà pour le pitch. Pour la recette, c’est simple. Prenez quelques personnages succulents (le p’tit rat tout mignon, le p’tit commis pas moins, le méchant chef super jaloux et, bien sûr, la princesse à croquer), ajoutez une poignée de figurants corsés (la bande des rats goulus, toujours prêts à mettre les pieds sous la poubelle pour croquer quelques détritus), faites mousser avec un scénario rebondissant, saupoudrez de bons sentiments… Et laissez-vous aller pendant que l’histoire mijote.
Dans l’assiette, ça donne une plongée dans l’univers fascinant des coulisses d’un cinq étoiles, relevée par un graphisme délicieux (non, je n’ai pas d’actions chez Pixar). Je ne suis pas critique, ni pour le ciné ni pour la gastro, mais en sortant, j’avais le sourire aux lèvres et le ventre creux. Pour mon anniversaire, je voudrais donc un petit rat à poser sur ma tête. Il me mitonnera des petits plats en me tirant les cheveux et fera des miracles dans ma cuisine miniature… Miam !
ps: Allez, j’ose une petite douceur pour finir, spéciale dédicace pour tous mes amis branchés caca (eh oui, ils sont plus nombreux qu’on ne l’imagine à être bloqués en phase scato)… En garant (difficilement) Wizzz en rentrant, j’ai franchement posé le pied dans les restes digérés du dîner d’un chien. J’ignore s’il était gourmet ou goulu, mais ça glisse, cette cochonnerie. Alors, d’abord, j’invite les propriétaires de canidés à éviter les garages à deux-roues quand leurs bestioles ont des problèmes de transit. Ensuite, je me note de vous faire partager mes pensées philosophiques sur ce que subit la chaîne de Wizzz quand j’en suis éloignée. Et enfin, je vous laisse, parce qu’avec tout ça, il me reste un peu de ménage à faire sous mes baskets. C’était la minute poétique, bonne nuit !
4 commentaires:
J'ai égalementy plus qu'adoré ce film d'animation.
Je vais chercher dès aujourd'hui ce petit rat pour ton anniversaire ;-)
Ah bon !!!!!!! Un rat ????? pour ton anniversaire.......... Bien le bonjour à Wizzz, je vous souhaite encore de belles aventures à tous les deux.
Bienvenue tous les deux!
(et merci Elo, je savais que je pouvais compter sur toi, même pour un rat!)
je veux le voir ce rat, mais charlotte l'a déjà vu sans moi ;-(
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