mardi 22 janvier 2008

Vol au dessus d'un nid... d'étourneaux

Première visite à la bibliothèque François Miterrand il y a quinze jours.


A l'intérieur se déroule actuellement L'Enfer, une expo un peu "hot" sur les ouvrages cachés (comprendre trop osés pour être montrés) de la bibliothèque nationale. Bon, pour la cul-ture, je passe mon chemin pour cette fois: j'étais bien gênée à vrai dire de déambuler entre lithos cochonnes et poèmes salaces avec... mes parents, alors en parler...

J'ai bien aimé par contre l'expo photo installée dans les couloirs (= gratuite). Les images sont magnifiques et les sujets très humains. Du vrai photojournalisme comme je l'apprécie.

Mais là n'est pas l'objet de ce post. Car la vraie bonne surprise de ce jour d'hiver s'est révélée à la sortie: en poussant la porte extérieure, j'ai été bluffée d'entendre des pépillements. Pas le petit piou d'un oisillon tombé du nid, une vraie cacophonie, mieux qu'en pleine forêt, mieux que dans une volière du quai de la Mégisserie. Une petite musique hallucinante à Paris!

J'étais intriguée par le son, mais l'image m'a laissée coite: là-haut, au-dessus des arbres plantés dans le patio de la biblio, dedans et partout autour s'agitaient des milliers d'étourneaux. Des grappes qui tournaient tout autour de la bibliothèque avant de plonger dedans dans une cacophonie gazouillante. Un spectacle si incroyable, là, au beau milieu de la capitale, que je suis restée plusieurs dizaines de minutes bouche bée, à admirer le ballet. Comme quoi, parfois, Paris réserve de belles surprises!

vendredi 11 janvier 2008

Qui n’a pas son cabas-casque ?

Encombrant, mon casque ? Que nenni !

L’avantage du casque, c’est qu’il offre de multiples usages dès que l’on ne l’a plus sur la tête (non pas qu’il soit inutile porté, évidemment !). En toutes circonstances, il se transforme en sac d’appoint fort pratique. Au supermarché, par exemple, pas besoin de pochon en plastique, il suffit de relever la visière et de caser ses emplettes au fond du cabas rond. Evidemment, il ne suffit pas aux courses pour trois semaines, et mieux vaut éviter d’y mettre les provisions maraîchères au risque de se trouver avec des fanes de radis dans les cheveux au voyage suivant… Mais quand même, c’est utile !

Idem pendant les soldes : au début, ça énerve d’avoir ce truc pendu à votre bras, c’est encombrant pour fouiller les portants. Mais coincez le à la saignée du bras et il se mue en astuce pratique pour stocker quelques vêtements à essayer.

Ça marche aussi comme panier de pique nique, comme hotte de père Noël, comme porte-documents… et j’en oublie !

Bon, au final, on y met surtout, au quotidien, tout l’attirail indispensable (et encombrant) du scooteriste : les gants, l’écharpe, voire le pantalaon k-way en cas de pluie. C’est toujours ça de moins dans le sac à mains !

dimanche 6 janvier 2008

Qu'est ce qu'on dit début janvier?


A mes chers lecteurs, une très belle année 2008, avec, dans un grand pot, du bonheur, des fêtes, de la joie, des projets, des réussites, du boulot, des vacances, du soleil, des sourires, des surprises et aussi de l’amouououour et bien sûr la santé, puisqu’on y est ! Touillez, assaisonnez ça à votre sauce et zou, ça, c’est fait !
Passons maintenant aux méchantes questions visiblement essentielles à ce début d’année :
- Et vous, vous comptabilisiez combien de textos le 1er au matin ?
- Finalement, vous avez pris combien de kilos pendant les fêtes ?
- C’est quoi vos bonnes résolutions ?

Moi j’peux répondre, mais on va encore dire que je bougonne :
- pffff (le problème c’est surtout qu’il faut y répondre en faisant preuve d’un minimum d’imagination et avec 4 g d’alcool dans chaque bras, c’est juste LA mission qui fatigue d’avance pour l’année)
- grumph – chais pas (la balance ne s’est toujours pas remise de l’épreuve des braedele, qu’on se le dise)
- euh, prendre des cours de dessin?

Cette fois, c’est à vous !